Bonjour, je suis devenue accro à la nourriture comment m’en sortir
Bonjour,
Je vous conseille de consulter un psychologue spécialisé dans les troubles du comportement alimentaire;
Prenez soin de vous.
Bonjour,
Vous pouvez en parler à un médecin, à un psychiatre et/ou à un psychologue qui pourront vous accompagner ou vous réorienter vers les professionnels adéquats. Bonne journée,
Bonjour, et merci pour ta confiance.
Ce que tu vis est plus fréquent qu’on ne le pense, et surtout : tu n’es pas seule. L’addiction à la nourriture peut être très difficile à vivre, car elle touche à la fois le corps, les émotions et parfois l’estime de soi. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions concrètes pour t’en sortir. Voici quelques étapes clés pour commencer :
🌱 1. Reconnaître que ce n’est pas juste "un manque de volonté"
Tu ne manques pas de volonté. L’addiction alimentaire est souvent liée à :
Des ...émotions non exprimées (stress, anxiété, vide affectif…)
Une relation compliquée avec ton corps ou la nourriture
Des habitudes profondément ancrées
Parfois même à des déséquilibres biologiques (comme la dopamine)
🧠 2. Identifier les déclencheurs
Essaie de repérer ce qui déclenche tes crises ou tes envies compulsives :
Est-ce que c’est lié à un moment de la journée ?
À une émotion ? (ennui, tristesse, stress…)
À certains aliments précis (sucrés, gras, salés…) ?
Tu peux tenir un petit journal alimentaire et émotionnel, même 5 minutes par jour. Cela aide à voir les schémas.
👥 3. Chercher de l’aide extérieure
C’est souvent difficile de s’en sortir seule, et ce n’est pas un échec d’avoir besoin d’aide :
Un psychologue ou un thérapeute spécialisé en TCA (troubles du comportement alimentaire)
Un nutritionniste ou diététicien qui ne juge pas, et qui comprend l’aspect émotionnel
Groupes de soutien comme les Compulsifs Anonymes, ou des forums spécialisés
🛠️ 4. Mettre en place des petits outils
Prendre 5 minutes avant de céder à une envie → pose-toi la question : “De quoi ai-je vraiment besoin là maintenant ?”
Manger en pleine conscience : s’asseoir, respirer, sentir, mâcher lentement (même une bouchée)
Ne pas interdire tous les aliments : ça renforce le cercle de la restriction -> compulsion -> culpabilité
Bouger un peu chaque jour, même doucement : ça aide l’humeur et la régulation des envies
❤️ 5. Travailler sur la bienveillance envers toi-même
Tu n’as pas à “te battre contre toi-même”. Ton corps et ton mental essaient juste de gérer quelque chose de douloureux.
Change le discours intérieur : au lieu de “je suis nulle, j’ai encore craqué”, essaie :
→ “Je traverse un moment difficile. Je peux faire un petit pas différent cette fois.”
Lycia
Ainuinfo.com
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Bonjour,
Merci pour votre message, c’est déjà une étape importante de pouvoir mettre des mots sur ce que vous vivez. Quand la nourriture prend trop de place, c’est souvent le signe que quelque chose en soi a besoin d’attention, de douceur, de compréhension.
Il peut être vraiment aidant de ne pas rester seule avec ça. Parler à un professionnel, dans un cadre bienveillant, permet souvent d'y voir plus clair, de comprendre ce qui se joue derrière ces comportements, et de retrouver peu à peu un apaisement.
Vous méritez d’être soutenue. Prendre soin de vous, c’es...t aussi oser demander de l’aide.
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Bonjour, la question de la dépendance est un phénomène complexe (multi causales) et insidieux (il s'installe petit à petit et après il prend toute la place de votre espace mentale). Par ailleurs, l'addiction est aussi une réponse, inadaptée, à une certaine souffrance. Si vous souhaitez retrouver une relation fonctionnelle à la nourriture associé à un plaisir de manger, cela demande de la motivation, d'abord, ensuite, un réflexion sur vos schémas mentaux. Cette réflexion se fait petit à petit dans un cadre bienveillant d'une relation avec un psychoth...3;rapeute en qui vous avez assez de confiance pour aborder la souffrance derrière le schéma addictif. Bien à vous Voir plus
Bonjour,
Il n'y a pas de technique qui convienne à tout le monde. Le mieux est de pouvoir vous faire accompagner face à cette difficulté que vous éprouvez.
Belle journée,
Vous devez rechercher à quoi répond votre besoin de nourriture. Vous protéger physiquement d'une peur? Combler un vide émotionnel? Tout simplement aimer manger? Une déficience physique (médecine physique vs psy)? Etc. Consultez un psychothérapeute, il pourra vous guider dans votre recherche de la cause. Sans comprendre "pourquoi", vous ne pourrez pas savoir "comment"
Je vous conseille de faire une psychothérapie. Courage à vous
Bonjour,
Merci pour votre message, c’est une démarche importante de poser cette question. Se sentir « accro » à la nourriture est souvent très culpabilisant, mais il existe des solutions efficaces. En voici quelques unes pour vous aider dans la vie quotidienne:
1. Travaillez sur l’envie de contrôle plutôt que sur la lutte contre les pulsions
Plus on essaie de se battre contre les envies, plus elles prennent de la place. Une stratégie souvent aidante est d’apprendre à tolérer l’envie sans forcément y répondre tout de suite, en utilisant par exemple la métho...de du « délai » : s’autoriser à attendre 10-15 minutes avant d’agir, en observant simplement ce qui se passe dans le corps et l’esprit.
2. Recréez un environnement qui soutient vos objectifs
Il peut être utile de limiter l’accès aux aliments qui déclenchent les crises, sans pour autant tomber dans la restriction totale. Favoriser un environnement où les alternatives sont facilement disponibles (aliments nourrissants, activités apaisantes) est souvent plus efficace que de compter uniquement sur la volonté.
3. Utilisez l’exposition avec prévention de la réponse
Cette technique issue des TCC consiste à s’exposer progressivement à la présence de certains aliments sans passer à l’acte, pour diminuer l’association automatique entre présence de l’aliment et compulsion. Cela permet de réduire l’intensité de l’envie avec le temps.
4. Travailler la relation à soi-même et au corps
Beaucoup de comportements alimentaires compulsifs sont liés à une image de soi négative ou à des attentes irréalistes vis-à-vis du corps. Le travail sur l’auto-compassion et l’acceptation corporelle peut réduire la pression qui alimente les crises.
5. Consultez un professionnel formé aux troubles du comportement alimentaire
Une démarche thérapeutique adaptée permet d’explorer les causes profondes de ces compulsions et d’apprendre des outils concrets pour s’en libérer durablement.
Vous n’avez pas à rester seul·e face à cette situation. N’hésitez pas à faire appel à un accompagnement personnalisé.
Prenez soin de vous,
Jason Wood.
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