Dépistage IST
Reconnaître les symptômes, se faire tester et commencer le traitement
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Les infections sexuellement transmissibles (IST)
Les maladies sexuellement transmissibles (MST) ou infections sexuellement transmissibles (IST) sont des affections qui se transmettent principalement (mais pas exclusivement) par les rapports sexuels. Les rapports sexuels peuvent être vaginaux, anaux ou oraux. Certaines IST se transmettent non seulement par les rapports sexuels, mais également par contact avec la peau ou le sang.
Il est important de savoir que toutes les personnes sexuellement actives, quel que soit leur comportement sexuel, courent le risque de contracter une IST. Ce risque augmente bien logiquement avec le nombre de partenaires sexuels rencontrés et la pratique de prévention et de dépistage chez les deux.
Le préservatif est une forme de protection efficace, mais ne protège pas à 100 % ; les IST ne donnent pas toujours de symptômes facilement identifiables par soi-même et les symptômes peuvent être différents en fonction du sexe.
Se protéger et protéger l’autre, c’est donc aussi :
- Faire les vaccinations disponibles
- Rester attentif aux signes physiques et consulter un médecin s’ils surviennent
- Faire des dépistages réguliers avec examen clinique et tests de laboratoire, surtout lors d’un changement de partenaire
- Voir votre gynécologue annuellement et lui parler ouvertement
- Une IST voyage souvent avec d’autres… Un dépistage complet de toutes les IST doit être fait lors d’un premier diagnostic
Ne jamais oublier que :
- “N’avoir aucun symptôme” …ne garantit pas de ne rien avoir contracté.
- “Bien connaître son(a) partenaire”...est insuffisant.
- “Être soi même dépisté(e) et négatif(ve)... “ ne garantit pas la pareille chez l’autre, même s’il s’agit d’une relation de longue durée.
- “S’en vouloir ou en vouloir à l’autre” … est inutile: les virus et bactéries cherchent inlassablement à occuper notre organisme pour se reproduire et sont parfois pernicieux pour y parvenir. L’essentiel est de les arrêter.
- “Se sentir sali(e) “ …n’a pas de sens: la sexualité est une fonction vitale comme les autres.
Et votre médecin est là pour vous conseiller, dépister les infections et les traiter si nécessaire.
Prudence et attention sont de mise dans ce domaine, consultez votre médecin et faites les dépistages.
La plupart des maladies sexuellement transmissibles sont faciles à dépister et rapides à traiter mais d'autres nécessitent une prise en charge médicale beaucoup plus longue et plus lourde.
Si vous êtes diagnostiqué avec une IST, il n’y a pas de honte à avoir, il faut y réagir rapidement en se traitant correctement et en informant les personnes susceptibles d’avoir été ou d’être, eux aussi, porteur de l’infection afin qu’ils puissent êtres traités en conséquence, le cas échéant.
Ne pas diagnostiquer et traiter une IST augmente évidemment le risque de transmission mais comporte aussi , pour vous même, un risque de complications médicales plus sérieuses telles un impact sur votre fertilité, la survenue de certains cancers ou un impact sur votre santé générale.
Oser consulter, dire et se traiter, c’est se respecter, respecter l’autre et participer à la diminution du portage global de ces infections afin d’ en diminuer la fréquence pour tous et pour chacun.
Les IST les plus courantes
Le virus du papillome humain (papillomavirus) (HPV)
La vaccination est disponible à tous et remboursée jusqu’à 19 ans.
Le virus se transmet par contact des muqueuses ou de la peau et est très fréquent . Il est heureusement transitoire et inoffensif la plupart du temps mais, attention, certaines souches peuvent avoir un impact sur la cancérisation des cellules et devenir responsable d’un cancer du col de l'utérus chez la femme ou, beaucoup plus rarement, de la zone ORL chez l’homme. D'autres sont plus inoffensives et parfois responsables des verrues génitales.
Le diagnostic se fait uniquement par l’examen gynécologique , urologique, gastro-entérologique ou ORL.
Lors de votre frottis de col, la recherche du virus sera systématiquement effectuée si celui-ci démontre des anomalies, même très mineures, des cellules récoltées.
Le suivi de ces petites anomalies du col nécessitent des contrôles fréquents et de longue durée du frottis avec colposcopie et éventuelles biopsies afin de déterminer si un traitement devient nécessaire. Celui-ci consiste généralement à enlever la zone du col infectée par chirurgie ou laser (conisation) afin d’éviter la transformation en cancer mais la surveillance reste de mise après.
Le traitement des verrues génitales, très contagieuses, se fait par destruction des lésions par traitements locaux , cryothérapie ou laser.
La prévention ne passe actuellement que par la vaccination et les examens gynécologiques de dépistage réguliers comportant le frottis de col.
Chlamydia
Infection due à la présence de la bactérie Chlamydia trachomatis. Le diagnostic est fait par frottis PCR dans le col chez la femme et urétral chez l’homme. Un examen d’urine en laboratoire comprenant le premier jet sur les urines chez l’homme est plus facile et efficace. Elle est traitée avec des antibiotiques chez les deux partenaires et un contrôle doit être effectué après. Si elle n'est pas diagnostiquée et traitée à temps, la Chlamydiose peut provoquer une infection pelvienne avec des séquelles éventuelles sur la fertilité.
L'herpès génital
Les lésions douloureuses apparaissent régulièrement sur la peau et les muqueuses et sont causées par le virus HSV-2(genital) ou-1(oral). Le diagnostic repose sur l'examen clinique et les tests en laboratoire. Cette infection est très désagréable et contagieuse pendant ses phases actives. Le virus s’installe dans l'organisme sous une forme latente et peut réapparaître de manière chronique, lorsque le système immunitaire est affaibli. Des médicaments antiviraux sont généralement administrés pour soulager les symptômes mais le virus ne disparaît jamais totalement.
La trichomonase
L'infection est causée par un parasite vaginal ou urétral: le trichomonas vaginalis qui est devenu beaucoup moins fréquent actuellement.
Le diagnostic repose sur le prélèvement de sécrétions vaginales ou urétrales
Le traitement est médicamenteux et doit être pris par chaque partenaire sexuel vu qu’il donne peu de signe chez l’homme.
Hépatite C et Hépatite B
Ces deux virus s’attaquent au foie et se transmettent principalement par contact avec du sang infecté (blessures, seringues, etc) mais parfois aussi par contact sexuel . Le préservatif doit être utilisé dans toutes les pratiques sexuelles afin d’en diminuer le risque.
Le diagnostic est fait par un test sanguin spécifique (sérologies) et la mise au point, le traitement et le suivi est effectué par les gastro-entérologue ou infectiologue et est de longue durée.
VIH/SIDA
Il est causé par le virus de l'immunodéficience humaine. Le diagnostic est fait par un test sanguin(sérologie).
Pour le traiter, des médicaments antirétroviraux sont administrés par des spécialistes et sont actuellement très efficaces pour empêcher la progression mais la maladie n'est jamais complètement guérie et requiert un suivi à vie.
Syphilis
Elle est causée par la bactérie Treponema pallidum. Cette maladie évolue progressivement dans tout le corps à bas bruit et affecte progressivement nombreuses de ses fonctions. Le dépistage est fait par les sérologies. Elle est traitée par antibiothérapie selon le stade d’évolution de la maladie et avec l’avis d’un spécialiste dermatologue-vénérologue.
Blennorragie
Elle est causée par une infection par une bactérie, le Neisseria gonorrhoeae. Elle est diagnostiquée par des prélèvements bactériologiques et PCR au niveau du col de l'utérus, de l'urètre, de l'anus et du larynx. Elle est traitée avec des antibiotiques chez les deux partenaires. Cette infection peut aussi se compliquer d’atteintes plus graves pouvant compromettre la fertilité
Molluscum contagiosum
Affection dermatologique bénigne, cette infection virale se transmet par simple contact physique ou avec des vêtements et du linge contaminés. Elle est très fréquente chez les enfants et n’est pas à proprement parler une IST. Elle se diagnostique simplement par l’aspect des lésions. Très fréquents, les molluscum ne présentent aucune gravité et sont traités par les dermatologues.
Diagnostic des IST
Les examens permettant de diagnostiquer les infections sexuellement transmissibles (IST) chez les femmes sont les suivants : examen gynécologique, prélèvement vaginal et cervical, frottis de col utérin et recherche HPV, prise de sang pour analyse des sérologies suivantes: hépatites B et C , VIH et syphilis.
Pour les hommes, le diagnostic se fait par une prise de sang pour analyse des mêmes sérologies que chez la femme, un examen d’urine avec le premier jet pour le gonocoque et le Chlamydiae ou un prélèvement bactériologique uréthral et une consultation chez le dermatologue , l’urologue ou l’orl en cas de symptômes ou de contact avec une personne infectée.
Votre médecin vous informera, en fonction de la situation, d’autres examens plus pointus à pratiquer si nécessaire.
Symptômes des IST
Les symptômes des IST sont très variables et divers, ils peuvent être totalement absent, être différents en fonction du sexe , être transitoires, rapides ou tardifs par rapport au début de l’infection, intenses ou très légers.
N’hésitez pas à consulter un médecin au moindre doute.
De manière générale, certains des symptômes chez les hommes et les femmes qui pourraient vous alerter sur une potentielle IST sont :
- Douleur ou brûlure en urinant
- Démangeaisons, douleurs ou gonflement des zones génitales
- Sécrétions urétrales
- Pertes vaginales abondantes ou odorantes
- Douleur pelvienne ou pendant les rapport sexuels
- Douleur dans les testicules
- Saignements utérins anormaux chez les femmes
- Éruption cutanée / cloques / aphtes ou boutons dans les zones génitales
- Symptômes généraux tels que fièvre, fatigue, douleurs articulaires, perte de poid ou éruption cutanée non expliqués.
Modes de transmission des IST
Le principal mode de transmission des IST est, par définition, la voie sexuelle, quelles que soient les zones génitales impactées: vulve, vagin, pénis, anus, bouche, peau. La transmission indirecte peut se faire parfois par des objets contaminés.
La transmission par le sang est aussi fréquente, que ce soit de manière directe (congénitale, transfusion..) ou indirecte par des objets contaminés ( seringues, blessures..pratiques sexuelles entraînant de micro-traumatismes).
Chaque agent infectieux a ses propres spécificités et votre médecin vous donnera les recommandations adéquates en fonction de votre situation.
Prévention des IST
La vaccination: Hommes et femmes peuvent se faire vacciner contre le HPV et le virus de l'hépatite. Cette protection est très importante. Parlez-en à votre médecin.
Adopter un comportement de protection responsable:
a) Le préservatif
- Il est important d'utiliser un préservatif du début à la fin des rapports sexuels pour réduire le risque d'exposition à un virus.
- Utiliser le préservatif est recommandé dans toutes les pratiques sexuelles (orales, vaginales, anales) et quels que soient les sexes des partenaires. Il existe des préservatifs masculins et féminins.
- Avec un nouveau partenaire, poursuivre absolument l’utilisation systématique du préservatif jusqu’au dépistage complet des partenaires.
- Dans une relation de confiance, sur le long terme, s’engager mutuellement à se protéger en cas d'éventuels rapports avec d’autres partenaires.
b) Le dépistage
- Tout rapport sexuel est théoriquement à risque. Le risque augmente avec le nombre et le changement de partenaires.
- N’hésitez pas à vous faire dépister à chaque nouvelle relation, de votre chef ou de celui de l’autre ou dès l’apparition de symptômes suspects ou de doutes.
c) La communication
Parlez prévention, dépistage et éventuels traitements avec vos partenaires. Installez une relation de confiance et de respect mutuel.
Voyez votre gynécologue annuellement et parlez lui honnêtement de votre situation
Consulter rapidement un médecin en cas de symptômes ou de doute
Coûts du traitement des IST
Pour un dépistage complet , le coût comprend une consultation avec un spécialiste, tel qu'un gynécologue ou un urologue. Des examens bactériologiques, sanguins et éventuellement d’autres plus pointus seront effectués. La majorité de ces examens sont remboursés en partie par votre mutuelle.
Il existe d'autres lieux de dépistage comme les consultations de planning familial ou les centres de dépistage IST.
Mythes et vérités
Ceux qui ont des maladies sexuellement transmissibles le savent car ils ont toujours des symptômes.
Non, toutes les IST n'ont pas de symptômes évidents. Il existe des maladies telles que le HPV, certaines urétrites (pas toutes), le VIH et l'hépatite qui peuvent être asymptomatiques pendant de nombreuses années. La chlamydia également, dans de nombreux cas, ne présente aucun symptôme, en particulier chez les femmes. Le moyen le plus efficace de savoir si vous souffrez de l'une de ces maladies consiste à effectuer des contrôles réguliers et des tests en laboratoire.
Si j'utilise deux préservatifs, j'ai une double protection.
Non, la protection offerte par un seul préservatif est suffisante; son efficacité n’augmente pas proportionnellement à leur nombre. Cependant, il n'offre pas une protection complète dans tous les cas. De plus, si vous utilisez deux préservatifs, vous pouvez emprisonner de l'air entre eux et augmenter ainsi les risques de rupture.
Si je suis dans une relation monogame, il est impossible que je développe une IST.
Certaines IST apparaissent ”à retardement”. …Les précautions générales restent de mise: vaccination préalable; préservatifs jusqu’au dépistage complet du partenaire; communication; protection lors des relations sexuelles hors du couple; consultation si symptôme; visite annuelle chez votre gynécologue.
Si j'ai une maladie sexuellement transmissible, elle sera diagnostiquée par un test Pap lors de mon examen de santé périodique.
Le test Pap ne suffit pas. Il dépiste les anomalies des cellules dues à l’HPV et permet d’en faire la recherche mais, pour diagnostiquer toutes les IST, un examen gynécologique avec prélèvement bactériologique et prise de sang est nécessaire.
Questions fréquentes aux médecins sur les IST
Oui, certaines IST peuvent également se transmettre par fellation ou cunilingus . Se protéger reste la règle.
Il est très important de contacter immédiatement votre médecin et de suivre ses conseils. Selon la maladie, un type de traitement compatible avec la santé du bébé est nécessaire. Attention à l’herpes génital aussi, à signaler à votre gynécologue. Une récidive des symptômes lors de la naissance impose de pratiquer une césarienne.
Une consultation préconceptionnelle est importante dans tous les cas et permet, entre autres, d’éviter un traitement pendant la grossesse s’il peut se faire avant ou de vous informer sur le suivi particulier d’une IST non traitable préalable.
C’est extrêmement rare mais pas impossible pour certaines infections, surtout s’il y a des blessures ou une infection active au moment même.
Le délai de positivité des tests va de quelques jours à quelques semaines en fonction de l’infection. Votre médecin peut donc vous demander un contrôle plus tardif si vous êtes trop tôt dans certaines situations.
Malheureusement, le préservatif n’offre pas une protection à 100 %. La peau et les muqueuses entrent en contact malgré lui et certaines infections, telles que le HPV ou l'herpès génital peuvent être transmises par cette voie. De plus, il faut l’utiliser correctement, pendant tout le contact sexuel et quels que soient les organes en contact.
Expériences personnelles d’IST
Ne vous découragez pas ! Vous n’êtes pas la seule personne à qui c'est arrivé. Lisez les expériences vérifiées de certains utilisateurs de Doctoranytime qui ont eu le même problème que vous. Éclaircissez tous vos doutes ! La chose la plus importante est que vous agissiez à temps. Avoir peur est tout à fait normal, mais la peur ne doit pas vous empêcher de prendre la bonne décision et de diagnostiquer tôt toute maladie sexuellement transmissible.
Utilisateur anonyme de doctoranytime
Age:Inconnu
VerruesL'ignorance me faisait peur
Ne pas savoir m'a fait peur, mais je suis immédiatement allé voir mon gynécologue, il m'a rassuré, et nous avons traité les verrues en les cautérisant à la clinique sous anesthésie locale. Lorsque le virus a refait surface, j'ai subi une autre cautérisation. La deuxième fois, j'ai changé de médecin et il m'a mieux expliqué la situation. Il m'a même guidé concernant le régime alimentaire nécessaire pour protéger mon corps. Dès le début, ils ont prélevé un échantillon pour la biopsie et ils ont fait un test pour déterminer le type de verrue. Tout cela a duré environ un an. Cela fait 10 ans depuis et elles ne sont pas revenues. Lorsque vous vous rendez compte que vous avez des verrues, allez immédiatement chez le médecin car elles ne disparaissent pas d'elles-mêmes !
Utilisateur anonyme de doctoranytime
Age:Inconnu
VerruesAu début, j'ai accusé mon partenaire
J'ai eu le même partenaire pendant 5 ans, nous avons tous les deux passé les tests nécessaires pour toutes les maladies sexuellement transmissibles depuis le début de notre relation et nous étions tous les deux en bonne santé selon les tests. Au cours de la quatrième année de notre relation, lorsque je suis allée faire un test Pap, les tests ont montré que j'avais des verrues. Au début, j'ai accusé mon partenaire, car c'était le premier homme avec qui j'ai eu des relations sexuelles, et j'ai immédiatement pensé au fait qu'il y avait quelqu'un d'autre, car pendant trois ans, les mêmes tests que j'avais faits étaient revenus négatifs pour les verrues
Après avoir été informée sur le sujet par mon gynécologue, j'ai appris que les hommes peuvent avoir des verrues pendant des années sans qu’elles apparaissent lors des tests, contrairement à la plupart des femmes. Donc, si vous vous trouvez dans une situation similaire, il serait conseillé de consulter d'abord votre gynécologue et de ne pas accuser votre partenaire (en termes de rapports sexuels simultanés) si vous avez été testé positif.
Utilisateur anonyme de doctoranytime
Age:35 ans
VerruesJe passe un test Pap chaque année.
Je n'avais que des verrues externes et pas de verrues internes. J'ai fait un test ADN pour déterminer le type et il s'est avéré qu'il n'y avait pas d'ARN, ce qui signifiait que le virus était dans un état inactif et que je n'avais rien à faire. Les verrues ont fini par partir seules et ne sont plus apparues. Cependant, je sais que maintenant le virus existera toujours dans mon corps et je dois faire attention à ce qu'il ne se manifeste plus. Je passe un test Pap chaque année. Un de mes proches qui avait des verrues a dû subir une petite chirurgie de cautérisation au laser qui était assez douloureuse. Je conseillerais à tous ceux qui en ont de ne pas les laisser sans rien faire car ils peuvent se transformer en cancer.