Praticien spécialisé en Deuil

Diplômée en psychologie en 2001 à l'UCL, je me suis d'abord formée à la psychothérapie avec les enfants puis à l'accompagnement des tout-petits (0 - 3 ans). Rencontrer un enfant ne se fait pas sans écouter, et parfois accompagner, ceux qui l'entourent et l'aident à grandir. Progressivement, je me suis donc également formée à travailler avec des adultes, parents ou pas. Aujourd'hui, je reçois tous ceux, petits et grands, qui à un moment de leur vie rencontrent une difficulté, s'interrogent ou sont en souffrance.

Vous pouvez prendre rendez-vous au Centre Mimosa Rhode-Saint-Genèse ou en Vidéo consultation.

Je propose des techniques de thérapies brèves telles que la logosynthèse, la méthode Peace, les thérapies non-duelles pour :

• se libérer des sentiments et émotions sources de souffrance,
• prendre/reprendre confiance en soi,
• se libérer des traumatismes anciens et récents,
• apaiser les difficultés relationnelles,
• se libérer d'un mental qui tourne en rond sans jamais laisser en paix,
• se libérer des croyances limitantes et erronées.
• sortir d'un burn-out,
• faire un travail autour du deuil,
• lâcher les questionnements sans fin concernant une situation présente ou passée,
• arriver à un apaisement réel et durable pour pouvoir reprendre votre vie en main.

Ceci se fait à l'aide de techniques qui ont en commun de faire lâcher-prise au mental, d'arrêter de le nourrir, d'arrêter de lui laisser toute la place, de cesser de le laisser être le maître de votre royaume intérieur, et de ne plus lui permettre de tourner en rond dans une rumination sans fin.

Ces techniques amènent un réel soulagement, elles nettoient nos traumas et autres blessures, croyances, ... rapidement et avec une facilité qui déconcertent souvent les personnes.

En plus d’être efficaces, ces méthodes permettent aussi l’autonomie via des exercices que vous pourrez facilement faire chez vous, sans aucune obligation car chacun va à son rythme. Ces exercices sont d'un emploi d'autant plus simple que ce n'est pas le mental qui fait le travail. On n'essaie pas de résoudre le problème (ce qui vous fait vous sentir mal à votre façon) avec ce qui crée le problème (le mental). Le mental est juste là pour faire ce qu'on lui dit de faire mais le travail se fait tout seul, à un autre niveau.

Quand le travail de nettoyage se fait, les souffrances s'en vont, la vision de la situation évolue et il y a automatiquement un autre comportement qui se met en place. Il n'y a aucun effort à faire. Il n'y a pas à essayer d'avoir par exemple un autre comportement, il n’y a pas à essayer de faire plus, moins, autrement, de relativiser (ce qui ne marche pas vraiment mais demande beaucoup d’énergie par contre). Les choses se mettent en place d'elles-mêmes.

Nos souffrances sont comme des boutons rouges qu’on porte en soi. Quand quelque chose dans notre quotidien résonne avec un de ces boutons, nous souffrons, nous sommes dans le mal-être. Tout le travail consiste à les identifier et à les neutraliser. Pour que la paix intérieure revienne.

Pendant les séances, il y a un travail d’introspection et des exercices pour lâcher l’émotionnel, ce qui les crée, ce qui s’y accroche. Cela se fait au fur et à mesure. On nettoie et on regarde ce qu’il reste, d’où ça vient ou bien ce que ça raconte et on nettoie. C’est comme un mille-feuille. Les couches s’enlèvent et on va voir de plus en plus profondément ce qui est là. Lors des exercices proposés, ce qui est vu peut être lâché. Chacun enlève autant de couches qu’il veut. Parfois on est content en ayant enlevé quelques unes. Parfois on veut aller plus loin.  Chacun son chemin, chacun son rythme.

En lâchant ce qui nous fait souffrir, nous reprenons notre pouvoir intérieur. Un pouvoir qui ne veut rien imposer à personne, qui n’a rien à démontrer. C’est juste une force intérieure, juste pour soi, qui forme une base plus solide pour vivre ce que la vie nous propose. On reste dans l’agir mais un agir plus équilibré. Un agir qui n’est pas juste une fuite en avant. On voit de façon plus consciente ce qui se joue dans notre vie. On sort de l’état d’impuissance qui nous fait croire qu’on ne peut rien y faire, à cette situation.

Quelques mots à mon sujet : après mes études à l'ULB j'ai travaillé en entreprise et en société jusqu'au moment où j'ai senti que le temps de proposer mes services comme psychologue était venu. A cette période, j'ai eu la chance de me former en logosynthèse. Puis aux autres techniques. On peut les employer au quotidien et je les ai beaucoup pratiquées sur moi-même. Je les utilise encore très souvent. Au début c'était pour me défaire de mes propres souffrances. Maintenant c'est pour découvrir où je peux arriver en allant "plus loin".

J’ai 47 ans et je suis psychologue /Psychothérapeute systémicien. Je travaille principalement avec les couples et les familles, mais aussi en individuel.Les personnes qui m’ont consultées disent que je suis quelqu’un de doux, de calme et de très investi dans les entretiens. Elles disent aussi que je suis atypique par rapport aux collègues psychologues qu’elles ont connus, et que cette caractéristique est vécue de façon très positive pour elles. Lorsque j’ai présenté mon histoire familiale et personnelle en seconde année de formation post-universitaire en systémique, Mme E. Goldbeter m’a dit notamment: « On dirait que tu racontes l’histoire d’un homme de 70 ans, alors que tu n’en as que 36. Tu as fait plein de choses dans la vie,… ». Effectivement, j’ai 46 ans et je suis à présent un psychologue, un psychothérapeute, depuis deux ans un chargé de cours à l’université de Liège en tant qu’expert en psychologie, un photographe et un musicien, qui assemble ses différentes expériences de vie pour tenter de les rendre utiles dans les rencontres psychologiques. J’utilise souvent la métaphore, l’humour mais aussi la musique, la photographie, et bien d’autres choses encore afin de rendre la situation de souffrance qui m’est présentée la plus simple, la plus claire, la plus explicite et la plus intelligible possible pour tous. Cette compréhension collective est souvent liée au début de la résolution du/des problème(s). Lorsque des couples, des familles ou qu’une personne poussent la porte de mon cabinet de consultations, je leur explique toujours certains points sur lesquels je suis particulièrement attentif : la communication, les émotions, l’histoire familiale, le sentiment de justice et d’injustice vécue entre les personnes. S’attarder sur ces différents points constitue souvent une clé pour résoudre le problème…